KiyonekǑ

CǑke Addict

Saturday, December 17, 2005

Black Hawk


Que le père Noël vous gâtes, où que vous soyez et qui que vous êtes.
Je vous souhaite aussi une bonne année une bonne santé et tout le tralala nécéssaire pour les parfaits superstitieux.
La meilleur résolution à prendre est de ne pas en prendre.

Bye Bye, je reviens le 3 janvier.

Tuesday, December 13, 2005

California Dreamin'


Un regard d'enfant pour une jeunesse déchue.


Monsieur Schwartzneger, ce n'est pas du mépris ni de la haine que j'exprimerais à votre égard, mais plutôt de la peine. La peine que vous ne vous êtes pas pris pour grâcier Stanley Williams. La peine que vous affligez à tous, la peine de mort tout simplement. Elle n'a jamais été une solution et n'en deviendra pas une. Alors, de nous deux, qui est meilleur Chrétien sachant que je n'en suis pas un ?

Look in the mirror. There is the solution.
Amani

Monday, December 12, 2005

Ashes to Ashes




On redevient tous poussière, alors pourquoi s'évertuer à faire le bien, alors que le mal nous convient. Notre confiance repose sur le mal car le bien est inhabituel. On ne s'habitue que trop peu aux bonnes choses, ces dernières, au fil du temps, deviennent mauvaise et ainsi de suite. Tel est le cercle vertueux d'une vie. On sait éperdument que rien ne tient et que les autres ne font que partis de la mémoire des jours. Les jours coulent, passent et se ressemblent. Pourquoi ne pas mentir ? Les autres ne le méritent pas. Ils ne méritent pas d'entendre vos malheurs, avouez leurs votre vie faste au lieu de votre chemin quotidien vers la misère. Et oui, vouez leur un plaisir qu'ils vous environt. Narrez vos dernières vacances aux îles moustiques au lieu de plaider coupable dans l'infortune des grands jours. Même si le froid vous tueras, l'écoute autres vous réchaufferas. Mentir n'est pas si mal dans le fond. Après tout, on redevient poussière.



Après mûre réflexion j'ai envoyé ma lettre au père Noël.


Cher Pere Noël,

Je voudrais....ou plutôt non...je veux pour noël, que la misère n'existe plus, que tout le monde soit gentil. Nan, vous y avez cru ? Dommage, je veux tout.

*Une petite blague avant Noël:

C'est un petit indien qui dit à son père :
- Papa pourquoi les Français ils ont des prénoms courts alors que nous on en a des longs ? Son père lui répond :
- C'est dans nos coutumes, on donne les noms comme le fils du grand esprit nous la enseigné, regarde ta sœur s'appelle soleil couchant sur la vallée parce que quand elle est née, il y avait un soleil qui se couchait sur la vallée. Tu as compris capote trouée ?

Sunday, December 11, 2005

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Chanel

Hey Jude


Quel bonheur de te voir sourir, quel bonheur de te voir vivre, quel bonheur de t'avoir, tout simplement. Deux amants posés sur la coline. Deux fleurs allongées sous le ciel orangé. Un bonheur si souvent éternel, qui s'avère éphémère. Oublies ce garçon, ce n'est qu'un mauvais rêve, il ne tarderas pas à rejoindre les autres. Il se défaira de toi plus vite qu'il ne t'auras enchanté. Ce n'est qu'une figurine masculine, qui avance dans les dédales de ta vie, qui la perce de son glaive, et qui ne reviendra jamais plus. Cesses donc de pleurer tous les soirs, toutes les nuits. Les garçons sont mauvais et tout ce que tu pourras faire c'est attendre le diamant, la perle rare au firmament de l'espace. Regardes le ciel avec entousiasme et n'aies pas de regrets car les promesses n'existent pas, et l'amour est partout. Ne dessines plus son nom dans tous les palais, ne vides plus les pots de Nutella pour noyer toi et ton chagrin. Oui tu n'as pas la chance de certains, oui, les garçons sont mauvais, ils tissent leur toiles parfumées dans tes rêves et les défonts dans la réalité. Tout ce qu'il te reste ? Notre amour pour toi. Oui, on t'aime...

Saturday, December 10, 2005

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Un petit coup de pub ne fais pas de mal. Par Sigaldi.


Cocaïne In My Brain


C'est du Bret Easton Ellis à l'Etat pur. Elle parcoure mes sinus, mon cortex cérébral, mes neurones, mon âme, elle me ronge. Elle developpe mon imagination, et inaugure mes sentiments. A genoux je la supplie de me faire voir les Yôkaï, de m'enmener dans son comic trip. Elle et moi, c'est du Bonnie and Clyde, du docteur Jekill et monsieur Hyde, ne vous déplaise, nous nous aimons. Le temps d'un instant, j'aime ta couleur sucrée, ton reflet dans mon miroir, oui, celui de mon âme. Saute moi au nez, après tout, les autres, on s'en fout. Comment te faire mes adieux ? Aimer ? Mais c'est toi que j'aime ! Il est plus facile d'essuyer une goute de sang sur ma lèvre, que d'effacer les rougeurs de mes yeux après de longs sanglots. Verlaine, le dit si bien, et je sais que des jours heureux, plus jamais j'en aurait. Tant que la neige tombera sur mon miroir, je ne pourrait t'oublier.Je plonge. My bank is rich.
Les années érotiques n'existent plus. Oui, liaison clandestine, et rêverie. Moi, et encore moi, jamais les autres. Ma vie est à Bagdag, entre adrénaline et fanatisme métaphorique. Né avec le Blues d'aujourd'hui, en perte d'identité, je ne sais me satifsaire de ma condition d'éternel servi. J'en abuse même.Quand la misère des autres rend aveugle la richesse des uns, il faut savoir faire avec les autres et ne faire qu'un. Sorry, my angel, je t'Aime.



[Hommage à ce con de Serge]

Sunday, December 04, 2005

Walk This Way


Dimanche est là, la pluie aussi.

Encore un début de temps à regarder les gouttes tomber. Si légère elle s'écrasent sur mon parapluie et tuent ma cigarette a peine entamée. La pluie nourrie l'artiste, l'artiste nourri la feuille, la feuille tombe. L'encre est une goutte de pluie, un quota, une erreur, une larme, rien de tout ça. J'écris sur la feuille comme Ben éjacule sur ses toiles. Le résultat se voudrait être l'immaculée conception, il n'en est pas moins un amas de mots, qui jonchés les uns sur les autres ne représentent rien. Tant pis. J'écris alors le monde comme d'autre le dessinerait, le détruirait.
-Le monde ?
-Oui, le monde.
-Ah bon.

Aujourd'hui, j'écris Ludwig Von Bethoven et demain Wagner. Entre les deux il y a moi. Ce moi qui ne parle pas. Il ne veut pas.

14h04: Je prends un café chez Marc.
15h05: Je donne une pièce à un gamin, qui se prend pour Fred Aster, la tête à l'envers.*
16h06: Je poste cet article.

*Il me regarde, et je me sens coupable de sa misère. Promis à Noël, je prierais pour toi.