Cocaïne In My Brain
C'est du Bret Easton Ellis à l'Etat pur. Elle parcoure mes sinus, mon cortex cérébral, mes neurones, mon âme, elle me ronge. Elle developpe mon imagination, et inaugure mes sentiments. A genoux je la supplie de me faire voir les Yôkaï, de m'enmener dans son comic trip. Elle et moi, c'est du Bonnie and Clyde, du docteur Jekill et monsieur Hyde, ne vous déplaise, nous nous aimons. Le temps d'un instant, j'aime ta couleur sucrée, ton reflet dans mon miroir, oui, celui de mon âme. Saute moi au nez, après tout, les autres, on s'en fout. Comment te faire mes adieux ? Aimer ? Mais c'est toi que j'aime ! Il est plus facile d'essuyer une goute de sang sur ma lèvre, que d'effacer les rougeurs de mes yeux après de longs sanglots. Verlaine, le dit si bien, et je sais que des jours heureux, plus jamais j'en aurait. Tant que la neige tombera sur mon miroir, je ne pourrait t'oublier.Je plonge. My bank is rich.
Les années érotiques n'existent plus. Oui, liaison clandestine, et rêverie. Moi, et encore moi, jamais les autres. Ma vie est à Bagdag, entre adrénaline et fanatisme métaphorique. Né avec le Blues d'aujourd'hui, en perte d'identité, je ne sais me satifsaire de ma condition d'éternel servi. J'en abuse même.Quand la misère des autres rend aveugle la richesse des uns, il faut savoir faire avec les autres et ne faire qu'un. Sorry, my angel, je t'Aime.
[Hommage à ce con de Serge]
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